Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.
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Nancy Cole ♔ queens of the night
Messages : 561 Crédits : balaclava pour l'avatar. /signature from unknown, tumblr. Pseudo/Prénom : reckless times. (Louloulabest) Avatar : astrid berges-perfect-frisbey
TANGO NOCTURNE ◐ Age : 25 ans, et des poussières. Occupation : Objet de désir et de plaisir pour certains. Boisson favorite : Gin tonic.
Sujet: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Ven 22 Sep - 21:06
tumblr.
NANCY COLE
AGE › un petit vingt-cinq ans déjà bien usé. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › née un dix juillet, à l'aube d'une journée d'été orageuse, dans la ferme de ses parents située à l'orée des bayous, à environ trente kilomètres de la ville. un accouchement sommaire pratiqué par le vétérinaire, comme il était souvent de coutume à la campagne. NATIONALITÉ › américaine, bien qu'elle ait des origines vaguement britanniques. ses parents morts et enterrés, il est bien difficile de le savoir aujourd'hui. ÉTAT CIVIL › célibataire et malgré elle bien trop occupée à satisfaire les demandes frustrées d'hommes riches et mariés. OCCUPATION › danseuse au body and soul depuis désormais cinq ans, fille de compagnie (prostituée) pour les clients les plus riches.
☾ meet nancy cole
nancy pourrait tout aussi bien se résumer à un bruissement. le froissement d'un drap sur lequel elle s'allonge trop souvent, les yeux dans le vague. nancy est discrète sauf lorsqu'on lui demande le contraire. éteinte, peut-être, d'un feu qui a déjà trop ravagé sa vie. elle préfère regarder le temps passer, lasse de l'espoir, lasse de l'attente, lasse du temps lui-même. nancy parle peu, elle traverse les pièces d'un pas léger et d'un coeur lourd. gracieuse, aérienne, nancy plaît alors qu'elle est pourtant si écœurée d'elle-même.elle a le coeur fragile, la peau fine et les yeux toujours grands ouverts : elle semble implorer quelque chose alors même qu'elle n'ouvre jamais les lèvres. elle joue les indolentes dans des robes de mousseline, comme à l'époque. elle ondule devant des hommes qu'elle ne voit que comme des ombres, aussi sombres et fuyantes. nancy pourtant est alerte et attentive : elle n'attend que la porte de sortie, l'échappatoire tant promis. elle cache bien ses sentiments pour elle même, convaincue que c'est la seule chose chez elle que personne ne peut toucher.
☾ smoke gets in your eyes
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE BODY AND SOUL ? [/size]
je n'ai pas trouvé le body and soul, c'est le body and soul qui m'a trouvée. le vice et la pénombre avec. j'étais fraîche de vingt et un printemps dont plus de dix à l'ombre douce et silencieuse d'un couvent. j'avais sur les joues le rose d'un matin d'été et l'apparente pauvreté d'une jeune orpheline. un pied mis dans cette épicerie sordide de coin de rue et déjà étais-je condamnée. on oublie bien vite à quel point un destin peut basculer au son cristallin d'une porte de magasin qui s'ouvre. du pain et des oeufs, ai-je demandé. la monnaie m'a fait défaut et j'ai du me résigner à ne repartir qu'avec le pain. talons tournés, voilà que le piège se referme et qu'une femme aux cheveux enflammés pose ses yeux dans les miens, et me demande "vous cherchez du travail, mademoiselle ?"
LE FRÉQUENTEZ-VOUS ET DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ?
j'ai débuté un plateau à la main, une blouse sur les épaules. j'y avais chaud, en permanence, et la fumée m'a tant brûlé les yeux que j'en pleurais parfois, avec ce charme qu'ont les enfants perdus, comme dans les contes de fées. c'est la mauvaise fée qui s'est visiblement penchée sur mon berceau, il y a fort longtemps : elle a du me prédire la perte insurmontable de mon innocence dès que j'aurais posé les pieds à l'intérieur du lieu. quatre années ont défilé depuis cette entrée en grande pompe. la blouse n'a pas tenu, les jupes se sont raccourcies et j'ai été propulsée sur scène. j'avais des jambes faites pour le métier, à ce qu'il parait, des jambes que je n'avais moi-même jamais regardées. tant de regards ont depuis coulé le long de ses jambes, bien avant que des mains ne décident de s'y poser, soir après soir.
QUE PENSEZ-VOUS DE CE QU'IL S'Y PASSE ?
je suis ce qu'il s'y passe. je suis l'emblème de cette société malade d'une recherche effrénée et incessante d'un plaisir éphémère et destructeur. cette société bridée dans les plus belles années de sa jeunesse, balayée dans ses ambitions au sortir d'une guerre dont personne n'avait voulu. je suis cette fille dont les yeux se perdent sur une salle brumeuse, trop pleine d'espoirs brisés, d'ambitions démesurées et d'hommes trop riches. je hais l'argent comme je hais mon métier, et l'un ne va jamais avec l'autre, pour moi. je hais chaque client comme s'ils passaient tous dans mon lit, j'attends chaque nuit le matin où tout aura disparu, comme cette fumée sinueuse qui entoure les silhouettes, au loin.
CONSOMMEZ-VOUS DE L'ALCOOL ?
boire est le seul réel échappatoire de cet endroit. j'ai commencé par détester ça, personnifiant dans toutes ces bouteilles d'alcool les malheurs qui s'abattaient sur moi. chaque bourbon était responsable de l'homme qui d'une main tenait son verre, de l'autre m'attirait à lui. puis j'ai réalisé que l'alcool ne pouvait être qu'un allié. j'ai lu baudelaire, je me suis enivrée pour la première fois, et tout m'a paru plus simple. les longues heures de travail, les difficiles retour chez soi, alors que l'on a rien que de la honte et de la fatigue à porter. les réveils sans aucun goût dans cette chambre exiguë et froide. mais surtout, ces soirées entières à prétendre s'amuser des mondes détestables qui se croisent au Body and Soul... sans jamais y croire. je bois chaque jour pour voir les gens par le prisme des verres de gin, celui qui les rend inévitablement plus beaux.
QUELLE RELATION ENTRETENEZ-VOUS AVEC LES RÉSEAUX MAFIEUX ?
sexuelles.
☾ all the things you are
Parce que bien trop longtemps jusque dans tes rêves, les volutes de fumée ont pris la forme de leurs yeux. en amande, pour ta mère, d'un brun doux, pour ton père, comme deux yeux qui veillent sur le monde.
Les nuits étaient trop courtes, au couvent. Tu t'es toujours réveillée avec aux lèvres le goût d'un rêve inachevé, d'un seul et unique espace de liberté quitté bien trop tôt. Chaque journée ne devenait alors qu'un recommencement morne de la précédente, entre contemplations, recueillement et activités sages. Ton identité mise de côté, tu devenais fille de Dieu, dédiée à une vie d'équilibre et de silence.
Arrivée fillette, tu es ressortie femme, sans aucune autre forme de conscience de ta féminité que ce sang dont tu avais honte, tous les mois. Dans les ouvrages de la bibliothèque des soeurs, tu avais cherché en vain la réponse à tes questions, pour finir par te construire une réalité bien à toi. Une destinée savante, une grande aventure comme celles de la Bible. Une vie héroïque, un jour, peut-être.
Tu n'as de cette nuit que des souvenirs olfactifs, violemment rappelés à toi lors de chaque départ de feu, d'une cheminée à un palace en flammes. Ta petite chambre reste éternellement froide, préférant te recouvrir de couches et de surcouches que de t'infliger la moindre remémoration d'une nuit sans lune et sans pitié. La ferme, composée de bois et de terre, s'était enflammée comme ces allumettes que tes clients agitent sous ton nez, pour allumer tes cigarettes. le temps d'un souffle, plein d'un air lourd de fumée et de gaz. une inspiration malheureuse et des bras d'homme qui te jettent au dehors, tandis que tes deux parents s'envolent dans le ciel, arquant des volutes noires et poétiques. nancy cole, orpheline à l'âge de dix ans, sans famille connue. destination, le couvent de st mary.
La lente maturation infligée sur toute chose par la terre nourricière, le ballet annuel des oiseaux migrateurs, la danse élégante d'un poisson que l'on sort de l'eau : voilà quels étaient tes souvenirs, tes savoirs et tes seules armes face au monde. Les signes de l'écriture t'étaient inconnus, les soeurs te l'apprirent. la musique n'avait jamais atteint ton oreille juvénile : les soeurs te firent chanter. tu ne savais que compter sur tes doigts : les soeurs te montrèrent. tu parlais mal, te tenais mal, mangeait improprement et n'avait de l'hygiène qu'une notion vaguement animale. les soeurs te martelèrent l'esprit et le dos jusqu'à ce que tu comprennes.
Un jour d'été à l'ombre d'arbres centenaires, on te fit choisir pour le reste de ta vie. Sans aucune forme de préparation ni de délicatesse, les soeurs te demandèrent de confier ta vie à Dieu ou de quitter les lieux pour une maigre somme d'argent. Pleine d'une montagne de possibilités complètement fantasmées, tu étais dehors dès le soir même, une petite valise à la main, l'air frais dans tes cheveux, enfin détachés. Il te fallut plus d'une heure pour réaliser que tu étais ton seul et unique point de repère dans un monde de violence et de rapidité. Nous sommes en juillet 1926 et c'est dans une certaine forme précoce de panique que ta vie enfin commence.
A l'hôtel Blanche, on croise toutes sortes d'êtres qui révolutionnent chaque jour les limites de l'humanité. Les couleurs et les formes se mélangent, chaque artiste raté, homme abandonné, femme désemparée, chaque être étrange et rejeté y passera un jour. L'hôtel est constamment habité de bruits sordides, de mélodies discordantes qui jour et nuit tentent de convier tout le bizarre de la ville à une danse sans charme. Tu n'y es que depuis quelques jours lors-qu’intervient dans ton destin brisé un personnage maléfique, cette mauvaise fée qui, penchée sur ton berceau il y a plus de 21 ans, avait promis de te retrouver un jour.
C'est dans une épicerie à peine éclairée que la rencontre se fit. Sans le sou depuis plusieurs jours, tu t'enfonçais lentement vers un retour à la rue, tes cheveux devenus sales et ta dignité laissée dans un dortoir ecclésiastique. Il te restait en poche une pièce que tu comptais échanger contre du pain et des oeufs. C'était sans compter que le destin, observant la scène du coin de l'oeil, t'en voulait déjà et que l'intégralité de son plan était ficelé. la pièce n'étant pas suffisante, tu repartais le pain sous le bras et la mine basse, mais charmante. des yeux ronds et grands, une expressivité folle. une taille fine, des jambes immenses, oui, c'est ce que vit en toi cette femme au regard sombre et aux cheveux éclatants, juste avant que tu ne partes. c'est par le prisme de ta juvénile beauté et uniquement par cela que mrs green t'adressa ses premiers mots. tu deviendrais serveuse, mais n'ayant aucune forme d'adresse ou de rapidité, on te confia bientôt aux mains d'autres tâches. le body and soul était rentré dans ta vie.
tw : viol:
jusque là, tout allait bien. oui jusque là, et ce malgré la musique qui te semblait trop forte, la fumée qui te semblait trop âpre, l'alcool qui te semblait trop amer. tu avais fini par te dire que le body and soul serait ta maison, une maison imparfaite mais une maison quand même. il n'en était rien et enfin aujourd'hui tu le sais. on a commencé par raccourcir ta tenue. montrer tes jambes, elles qui semblaient si longues, elles qui semblaient si vives. elles qui te portaient de tables en tables, naturellement gracieuse et docile lorsque tu fendais l'air. un soir brumeux au dehors comme en dedans, on t'a propulsée sur scène dans un costume si raccourci que tu en portes encore dans ta chair l'humiliation brusque, la brûlure des projecteurs contre ta peau dénudée. c'est ce soir là peut-être que tout s'est joué, puisque quelques semaines plus tard, mrs green, sans aucune forme de sommation, décide de t'envoyer en arrière salle pour une danse privée. trois jeunes gens riches t'y attendent, visiblement éméchés. leur visage ne pourrait t'être inconnu et aussitôt ton corps si fin se torture d'un long frisson : ils sont l'argent et le pouvoir, des habitués des lieux, à qui l'ont ne dit jamais non. tu danseras pour eux. boiras aussi des premiers verres d'alcool, prise presque aussitôt de nausées. de toute part cette nuit là les mains accoururent sur ton corps, avides d'une chair sans cesse renouvelée, de nouveaux plaisirs futiles. il fut une main de trop qui contre ton cou referma son emprise, la pièce vidée, les verres remballées et la lumière de la nuit qui prenait possession des lieux. l'homme qui te tenait ne tarda pas à prendre possession d'autre chose qui ne lui appartenait pourtant pas, jusqu'à cette douleur vive entre tes jambes. c'est sans un mot et dans l'insolence d'une vie brisée que tu es devenue la femme que tu es, vidée de son âme, aspirée à la faveur d'un jeune premier.
01. elle fume et boit dans l'unique but d'assouvir plus rapidement les désirs de ses clients. ainsi, elle a le sentiment de moins se souvenir de ses soirées, ainsi que de s'éviter toutes sortes de situations embarrassantes. son corps a fini par s'habituer, doucement, à ce rythme impossible. 02. elle ne construit que peu de relations sociales, d'amitiés ou de confidences. nancy refuse de découvrir le bien au milieu de ce monde qu'elle méprise, elle refuse d'entrevoir parmi ces visages hostiles un qui lui devienne salutaire. 03. elle vit dans une petite chambre de dauphine path, dans laquelle l'électricité saute tous les deux jours et l'eau courante est sur le palier. il y fait toujours froid car nancy se refuse à allumer toute cheminée : la vision d'une bougie lui est même parfois difficile. pour toute possession, elle n'a que trois robes, dont une pour l'église, quelques livres dont une bible, petite et abîmée, ainsi qu'une photographie de ses parents et une vieille poupée avec laquelle elle jouait enfant, et qu'elle tenait encore dans ses bras lorsqu'elle observait son foyer se réduire en cendres. 04. discrète et travailleuse, elle est bien considérée par des ses supérieurs, bien qu'elle leur voue dans le plus grand secret une haine farouche. jour après jour cependant, sa rage semble s'éteindre pour laisser la place à une lassitude morne, une résignation qui ne devrait concerner une jeune femme de vingt-cinq ans. 05. lors de ses premières "passes" comme on le dit parfois dans le milieu, nancy croyait encore qu'un de ses client se révélerait un jour être un prince fortuné et solitaire, tombant fou amoureux d'elle et la capturant des griffes de ses bourreaux. elle voyait dans les élégants costumes des jeunes hommes de possible demandes en mariage, dans les manières des plus vieux une envie de la prendre sous leur aile. désormais nancy sait qu'un tel récit ne peut être que couché sur du papier, et non sur ces lits de la honte, comme elle. 06. bien qu'elle préfère cacher son jeu, nancy est plutôt instruite. cependant, de part l'éducation très religieuse qu'elle a reçu, elle reste aujourd'hui très naïve sur l'air de son temps. elle approuve la prohibition et voit réellement l'alcool comme un poison moderne, sans même comprendre que cette loi l'enferme dans cette cage dorée qui est la sienne, depuis quatre ans maintenant. 07. si elle peine à s’accommoder des rythmes de la musique jazz, trop rapides et saccadés à son goût, nancy a une certaine affinité avec les arts de la scène et la littérature. elle passe même la plupart de son temps libre à cette activité, fréquentant les bibliothèques publiques pour ne jamais être à court de nouveaux ouvrages.
☾ the way you look tonight
PSEUDO/PRÉNOM › Louisette Coquilette comme on me connait parfois, ainsi que tous les dérivés de Lou/Loulou/Louise (et reckless times. pour avoir une sorte de blase sérieux) PRÉSENTATION PERSONNELLE › J'ai toujours envie de me décrire uniquement avec les smiley les plus cools mais 1) c'est de la triche 2) ils sont TOUS cools so, comme je suis un peu sexy castor dans l'âme, présentons ! j'ai bientôt l'âge idéal que je donnais à mes barbies quand j'étais gamine, c'est un peu l'accomplissement d'une vie. j'aime le sirop de menthe et les bouquins de l'époque du B&S, les trucs à paillette et lâcher des vieux jurons. pis parler avec l'accent belge aussi (ce qui ne rend pas très bien, par écrit, vous en convenez.) FRÉQUENCE DE CONNEXION › hmhmhmhmhmhmh. asap, i promess. AVATAR › la parfaite astrid berges-frisbey. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? › MOT DE LA FIN ›on va s'aimer, sur une étoile et au body and soul, on va s'aimer à se brûler avec les cigarettes, à s'envoler loin de la prohibition, où l'amour est saouuul (voilà, maintenant non seulement tu l'as dans la tête, mais en plus j'ai écrit un truc pas drôle. gniéhéhé) [/justify]
Dernière édition par Nancy Cole le Mer 4 Oct - 23:55, édité 10 fois
TANGO NOCTURNE ◐ Age : vingt-cinq ans Occupation : aspirante femme du monde, actuellement femme de chambre (hôtel blanche) ; escroc à ses heures perdues. Boisson favorite : bloody mary - elle en aime surtout le nom.
Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Ven 22 Sep - 23:38
(vire-moi, si tu as besoin de la place!)
Nancy Cole ♔ queens of the night
Messages : 561 Crédits : balaclava pour l'avatar. /signature from unknown, tumblr. Pseudo/Prénom : reckless times. (Louloulabest) Avatar : astrid berges-perfect-frisbey
TANGO NOCTURNE ◐ Age : 25 ans, et des poussières. Occupation : Objet de désir et de plaisir pour certains. Boisson favorite : Gin tonic.
Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Sam 23 Sep - 0:27
aha, t'inquiète je pense pas, je suis moins prolifique qu'in the good old days ! (t'es belle comme ça )
TANGO NOCTURNE ◐ Age : vingt-cinq ans Occupation : aspirante femme du monde, actuellement femme de chambre (hôtel blanche) ; escroc à ses heures perdues. Boisson favorite : bloody mary - elle en aime surtout le nom.
Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Sam 23 Sep - 11:42
C'est beau ce "meet nancy cole"
Nancy Cole ♔ queens of the night
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Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Mer 4 Oct - 16:04
tu sais que j'avais pas vu ton compliment mais qu'du coup, il est encore plus beau.
TANGO NOCTURNE ◐ Age : vingt-cinq ans Occupation : aspirante femme du monde, actuellement femme de chambre (hôtel blanche) ; escroc à ses heures perdues. Boisson favorite : bloody mary - elle en aime surtout le nom.
Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Mer 4 Oct - 22:49
Ptah mais t'as fini en fait. Et c'est trop bien (COMME C'EST SURPRENANT). Eh, t'es parfaite comme meuf, je vais finir par t'épouser.
Nancy Cole ♔ queens of the night
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Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Mer 4 Oct - 23:20
ah par contre j'ai pas fini du tout #inspiréecommeenquarante mais c'est quand tu veux, par contre, t'es juste adorable
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Sujet: Re: Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.
Ҩ je préfère au constance, à l'opium, au nuits, l'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; quand vers toi mes désirs partent en caravane, tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.
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